MERCI car cette page a été vue :

La pratique du Monoski

PRATIQUEZ LE MONOSKI : Du Ski au Monoski


Le monoski sport de glisse de l’élite comme le surf, le « fun » par force 7…. ?


On aurait pu le croire, mais c’est fini ! Finis ces gestes étonnants, ces projections du ventre en avant, ces bras jetés au ciel qui pouvaient séduire certains mais qui repoussaient nombre de bons et même d’excellents skieurs.
Avec les derniers monoskis proposés, tous les bons skieurs peuvent connaître l’ivresse du monoski en profitant à 100% de la technique deux skis déjà acquise !

Je vous l’affirme : en deux heures, si vous êtes un bon skieur, vous skierez « mono » non seulement dans la poudreuse mais aussi sur neige damée et même sur la glace ! Si vous êtes seulement un skieur moyen, il vous faudra un peu plus de temps mais en quelques heures vous pourrez déjà avoir une efficacité accrue en neige profonde ou ramollie par le soleil.


Pourquoi le monoski ?


S’il ne s’agissait que d’une mode et que pour se distinguer, on doive accepter de souffrir sur les faux plats, de se faire refuser l’accès de certains téléskis et télécabines, et de se mettre en difficulté dans certaines neiges poudreuses ou verglacées… le jeux n’en vaudrait pas la chandelle !
Mais aujourd’hui le monoski est beaucoup plus qu’une mode ! Dans la hiérarchie des sports de glisse, il vient avant le ski traditionnel, si l’on prend comme critère d’appréciation la jouissance et même l’ivresse que donnent tous ces sports. Et de cette jouissance naît une communion plus étroite avec l’élément, ici la neige, la pente, la montagne.
Pourquoi cette jouissance accrue ? Parce que les frottements sous le ski sont moindres ( sa surface égale celle de trois skis ) . Parce que les irrégularités de la surface neigeuse sont gommées ? Parce que l’homme aux pieds liés n’est plus le bipède habituel et se sent devenir oiseau ? Peu importe d’ailleurs, le fait est là : avec le monoski le très bon skieur initié peut créer les conditions d’une pratique encore plus exaltante. Pourquoi se priverait-il de ce « plus ».
Même au strict plan de l’efficacité, le monoski se justifie. Certainement pas sur des tracés de compétition, ou les skis traditionnels resteront, à mon avis, imbattables, mais sur les neiges non damées, profondes, lourdes, irrégulières ou même croûtées. Là , le monoski est imbattable. Il est d’abord d’un maniement plus facile. Il apporte aussi une plus grande stabilité. Enfin, il permet une pratique économique aux plans du travail musculaire et de la dépense foncière. Le monoskieur entraîné est un dévoreur de grands espaces et de dénivellation…
En conclusion que vous soyez un amoureux des sports de glisse, un fanatique du tout terrain et de la profonde, un ennemi des pistes trop damées et trop encombrées, un sportif qui aime se « défoncer » dans l’action, ou même plus simplement un technicien qui a toujours plaisir à s’initier à de nouvelles techniques, vous devez obligatoirement ajouter à la panoplie des engins sportifs que vous rangez dans votre garage un monoski moderne.


Avant 1984, la mise de fond aurait été prématurée, le monoski était en pleine évolution et imposait une technique trop différente de celle des skis traditionnels. Aujourd’hui, « le monoski est devenu vingt fois plus facile et permet une pratique très sobre, avec la technique du ski classique ». Je viens de citer les paroles de Nano Pourtier, ex coureur en ski alpin, devenu champion du monde de ski acrobatique qui fut l’un des premiers monoskieur de France avec le regretté Pierre Poncet.


Du Ski Alpin au Monoski Alpin


A l'inverse du ski alpin dont la méthode actuelle s'appuie sur une histoire déjà bien longue, l'enseignement du monoski balbutie encore malgré des théories techniques très évoluées que l'on peut découvrir dans le guide pratique pour mieux skier de Joubert aux Edition Arthaud ; aussi à chacun de transférer ses connaissances et ses « trucs » du ski au monoski.
Ce procédé qui pourrait apparaître comme un handicap favorise en revanche la recherche et la créativité, ce dont on ne peut pas se plaindre...
Dans le cadre de cette dynamique cet article reflète une expérience faite de tentatives de réponses et d'adaptations pédagogiques. Les situations proposées ne constituent donc pas un chemin tout tracé pour qui souhaite pratiquer le monoski et se perfectionner ; leurs objectifs ne visent pas l'assimilation d'une technique particulière, mais la découverte et l'affinement d'éléments-clés pour une pratique aisées.
Il ne s'agit pas de réussir, mais seulement de sensibiliser d'avantage à ce sport de glisse afin d’acquérir une véritable connaissance de cette « jeune » pratique.

1-Les différences entre le ski et le monoski


Toute la différence entre le ski alpin et le monoski réside dans le matériel car la différence de comportement moteur sur la neige est somme toute infime : les même jeux « chevilles-genoux » engendrent des effets ski-neige très proche, voire identique.
Ces deux sports, pratiqués dans les mêmes conditions de milieu et d'environnement, se présentent comme un même jeu de glisse entre le skieur et l'attraction terrestre, aspect particulièrement important, souvent oublié.
Le ski alpin a perdu dans sa pratique d'aujourd'hui, sa véritable nature, du moins pour 80% des skieur : On cherche avant tout à s’arrêter, à tourner et tourner de mieux en mieux afin de pouvoir descendre des pentes de plus en plus difficiles, et ce , en oubliant complètement de glisser et de s'abandonner aux forces naturelles.
Loin de vouloir dénigrer cette forme de pratique différente, chaque monoskieur est au départ skieur, dans la majorité des cas ; et, malheureusement pour eux, les planches de monoskis se prêtent plus à la glisse qu'au freinage même si sur ce point les planches actuelles se sont adaptées pour se rapprocher cet état.
De ce fait, tout ceux qui sur deux ski, indépendant de leur niveau technique, redoutent de glisser les yeux fermés, de regarder la vallée, de tenir le buste orienté vers l'aval, de dévaler en marche arrière ou se laisser plonger dans la pente, risquent fort de rencontrer bien des difficultés dans cette nouvelle discipline,
La différence entre ski et monoski tient uniquement au fait que l'un laisse les pieds libres quand l'autre les lie. Très nombreux sont ceux qui n'exploitent pas toute la liberté possible des pieds, mais aussi nombreux sont ceux qui accepte difficilement leur dépendance et jouent sur l’écart des genoux au moindre problème d'équilibre. Le geste n'est pas condamnable, mais l'expérience montre qu'il ne résoud pas les problèmes : de plus cette action prend toute l’énergie disponible et ne permet donc pas la réaction véritablement salvatrice.
Avant tout travail, quel-qu’il soit, le premier objectif du monoskieur est d'accepter pleinement cette entière dépendance des pieds et des jambes. Pour cela, il n'existe aucune situation permettant la liberté et l'autonomie, ce résultat, si ce n'est une concentration permanente, sur le contact des genoux, totalement kinesthésique et non pas visuelle pour ceux qui, bien sur, n'ont aucune difficulté à faire se toucher leurs genoux. Sinon, il existe une situation perverse consistant à s'attacher les genoux via un accessoire que vend la société Duret : «la Monobelt » mais cela n'est jamais aussi efficace que la seule concentration car , si elle empêche l'écart effective des membres, elle n’empêche nullement les tensions musculaires d’écartement.

2-La mise en situation


Les premiers pas en monoski peuvent s'effectuer de la manière suivante :
Le skieur alpin ôte l'un de ses skis et tente de réaliser des glissades sur un pied – Exercice permettant d'affiner son équilibre latéral du ski en mouvement.

LES PREMIERS « MONOPAS » MAINS DANS LA MAINS

L’expérience a montré, de façon évidente combien il pouvait être enrichissant de se lancer sur les pentes à deux, main dans la main, que ce soit avec un autre monoskieur ou un skieur alpin.
Le premier objectif, quelle que soit la situation, sera la recherche d'une autonomie toujours plus grande pour chacun des deux protagonistes, l'un vis à vis de l'autre. Car, bien évidemment, chacun ne manque pas, au début, de profiter grandement de cette présence pour se rééquilibrer ou se lancer dans les courbes. Cette disposition en binôme présente un double intérêt :
-d'une part, elle atténue considérablement la nécessité brusque de trouver un équilibre très précaire par rapport au ski alpin et à laquelle bien peu de skieurs sont préparés,
-d'autres part, elle permet la découverte immédiate des conduites de courbes, de la douceur dans le rythme des évolutions et de la rondeur au détriment de la sécheresse des virages exécutés pour freiner en ski alpin. De plus elle fixe les épaules, du moins en partie, de chacun des deux monoskieurs.

A deux, main dans la main, sur une pente très douce et très damée, plusieurs situations peuvent être proposées autour des deux grands thèmes suivant.

La prise de conscience du contact kinesthésique des genoux.
Évoluer et concentrer son attention sur ce contact.

La recherche de l'aisance.
Pour cela, il convient de varier les exercices.

Exemples :
  • -Virer « par empannage » face à la montagne : « plonger » vers l'aval et conduire une courbe jusqu'à remonter avant de pivoter dos à la pente.Plonger à nouveau pour accélérer, et ainsi de suite , d'un coté comme de l'autre- cette situation est plus facile à réaliser à deux que seul. Encore, faut-il bien prendre le soin de conduire de grandes courbes et, surtout, de remonter plutôt que de pivoter sèchement quand on est seulement en travers de la ligne de pente.
  • -« Valser » cet exercice est à réaliser dans le prolongement du précédent,
  • -« Monoskier sans bâton »
  • -« Monoskier fléchi », puis en se grandissant, Alterner contre-extension et sauts, l'un après     l'autre puis, ensemble, 
  • -« Alterner grandes courbes et petits virages ou godille »,
  • -« Regarder la vallée ou quelque autre point sans le quitter des yeux »  Effectuer cet exercice à tour de rôle, puis ensemble si vous êtes tous les deux en monoski,

Ces quelques situations très simples permettent déjà d'aller très loin dans la découverte du monoski sur piste et , d'affiner considérablement les acquis psychomoteurs, notamment ceux liés à la pratique du ski ou du monoski et qui en sont les éléments clefs :
  1. -Équilibres latéraux et avant-arrière ;
  2. -Coordination buste-jambes :
  3. -Dissociation regard-action et rythme.
De plus ces situations constituent essentiellement la première étape vers la découverte de la glisse ou, plus exactement vers l'acceptation du vide et de la pente. Et faut il le préciser , le plaisir est d'autant plus vivement ressenti que le monoskieur, comme le skieur, est décontracté.
Ainsi toutes ces situations aideront le monoskieur à éliminer peu à peu les tensions et mouvements déstabilisants, pour une pratique plus aisée.


LE PERFECTIONNEMENT PAR L'AFFINEMENT DES ELEMENTS PSYCHOMOTEURS

A ce niveau, l'objectif consiste à rechercher une sensibilité toujours plus fine et plus précise, et une décontraction toujours plus présente, qui seules permettront l'acquisition d'une véritable connaissance technique.
Les éléments-clefs de l'activité monoski, détaillés ci-après et illustrant des thèmes de travail jouent un rôle primordial dans l'apprentissage du monoskieur, Mais la liste des éléments psychomoteurs observables ne se limite pas là, loin de là. Même s'ils sont traités analytiquement, ils sont intimement liés chez l'individu, et ceci quel que soit le niveau de pratique, du débutant au monoskieur confirmé.

Toutes les situations suivantes concernent désormais le monoskieur dans sa pratique individuelle.


3-L'équilibre latéral


  • Skier sur un pied chaussé d'un ski alpin.

Cet exercice, comme nous l'avons déjà souligné, est riche en découvertes et affinements psychomoteurs pour tous ceux qui s'y adonnent, Il sert de tremplin vers un équilibre plus affirmé du monoskieur et permet, en outre, d'aborder avec une grande efficacité les situations suivantes,

  • Monoskier sans bâtons

A la lecture de cette proposition, nombreux sont ceux qui pourraient s'écrier « c'est plus difficile que le monoski ( ou le ski ) lui même » ! Sans aucun doute, la remarque est juste, mais ce serait oublier l'esprit dans lequel ces situations sont proposées : La réussite n'est absolument pas visée et seul le progrès est recherché. L'apprentissage doit être abordé comme un jeu, un défi même qui permet d'aller toujours plus loin dans la connaissance.
Dans la présente situation, l'objectif n'est pas de rester debout envers et contre tout et, notamment, « à prix fort » en énergie, tensions, en gestes brusques ou contorsions diverses, mais de rechercher l'aisance. Il est ainsi judicieux de commencer par de simples serpents ou longues godilles le long de la ligne de pente – choisie très douce- avant de se lancer dans les grandes courbes ou le placement du buste, jouant un rôle très important, est très délicat. Et, si la simple trace directe sur une pente « verte » semble un exercice périlleux, peut-être alors est-il plus sage de trouver un compagnon à qui donner la main ? Sinon toutes les pistes et tous terrains ( bosses et neige profonde entre autre) peuvent s'inscrire au programme de cette pratique sans bâton et ceci à tous les niveaux,



  • Fermer les yeux au téléski
La remontée au téléski est bien souvent un moment de torture et d'occasions de déséquilibres, Aussi, l'objectif dans cette situation consistera à rechercher la décontraction. Fermer les yeux et se laisser aller totalement, s'abandonner à la traction exercée par la perche, se sont des moyens très rapides de trouver le point d'équilibre, Bien sur, le fait de garder les bâtons entre les mains ne favorise pas cette recherche de concentration, Et peu importe si la chute survient ! Pour l'éviter : tout en fermant les yeux , relâcher totalement les chevilles afin que le monoski puisse véritablement glisser à plat et ne plus prendre de carre car c'est bien souvent là que réside l'origine des déséquilibres.

4-L’équilibre avant-arrière


En continuité avec les situations à deux, il est judicieux de reprendre individuellement les premiers exercices :

  • Virer par « empannage » (cf,exercice cité plus haut).
  • Valser
Le jeu d'équilibre avant-arrière est alors moteur et, en goûtant à ces différentes sensations avant et arrière, le monoskieur saura construire au mieux son propre équilibre.
  • Monoskier les chaussure décrochées
Sur pistes bien sur -ceci permet à la fois d'affiner l’équilibre en décuplant les sensations de glisse, mais également d'améliorer la souplesse latérale des chevilles, des genoux, et de déboucher sur « l'attitude surf » décrite par G,Joubert (guide pratique pour mieux skier, Édition Arthaud )

5-La coordination buste-jambes


La coordination buste-jambes représente ici l'aptitude à agir avec les membres inférieurs ( genoux et pieds ) tout en conservant le buste orienté vers l'aval,
Les observateurs sont unanimes : la pratique du monoski apporte toujours au skieur une meilleure acquisition de ce qui est appelé le « vissage »
De fait , le monoski est impraticable sans cette capacité à dissocier le haut et le bas du corps à l'inverse du ski ou l'on peut tout à fait s'en passer, mais non sans conséquences, C'est pourquoi l'abord du monoski est très difficile pour ceux qui « craignent » le vide et la pente, qui refusent de faire face à l'aval et n'osent pas se lancer,
Pour se rendre compte tout de suite de l'importance de cette dissociation buste-jambes, ils suffit de tenter un virage en monoski tout en tournant les épaules. Les effets ressentis sont dus au comportement « sur-pivoteur » du monoski, accompagné d'une rotation du buste qui amplifie considérablement le mouvement. Chaque skieur gagne donc à développer cette faculté s'il envisage de chausser le monoski. Les situations qui suivent aideront le monoskieur en difficulté sur ce plan là.

  • Construire avec deux paires de bâtons une seule paire et se placer face à un partenaire, 
Un bâton double dans chaque main ( bras écartés). Dans cette position, déraper pendant que son compagnon de laisse glisser dans la pente, Les Bras restent tendus sans extension forcées, alterner ensuite arrêts et dérapages puis changements de coté tout en recherchant la douceur des pivotements jusqu'à godiller, Alors que sur une pente faible la godille est peu marquée, donc très glissée, une pente plus forte demande une résistance plus prononcée et accentue le placement anticipé des épaules ( si toute fois aucun effort n'est fait au niveau des bras, ce qui est souvent le cas).

  • Monoskier sans bâton
cette situation est très efficace quant à la coordination buste-jambes, notamment en grandes courbes sur piste ou en neige vierges.

  • Tenir un bâton à l'horizontale devant soi et monoskier en le présentant continuellement à la vallée.
Cette exercice permet de matérialiser l'anticipation du buste, si toutefois ce placement n'est pas forcé et que le bâton tombe naturellement vers l'aval,

  • Godiller à deux, trois, quatre... en se donnant la main.
Cet exercice favorise considérablement une attitude « vissée », l'imposant même pour ceux qui se trouvent pris « en sandwich ».


5-La dissociation regard-action


Cette dissociation regard-action permet de monoskier « sans se regarder », sans fixer les yeux sur ce que l'on fait ou ce qui se passe au niveau du monoski,
Cette aptitude est particulièrement importante aussi bien en ski qu'en monoski, pour trois raisons essentielles :
  • le regard est très lié à la psychologie de l'individu ;
  • la vision au loin contribue à developper les sensations kinesthésiques et, plus précisément, proprioceptives et extéroceptives au contact de la chaussure ;
  • La vue, enfin garantit la sécurité individuelle et l'efficacité. Ce n'est qu'avec une vision large, tournée vers l'aval, que l'individu peut anticiper les courbes des autres, les changements de neige, les obstacles...
Quelques exercices simples, sous forme de jeux, peuvent contribuer à l'affinement de cette capacité-élément contribuant à la découverte et à la coordination buste-jambes.
  • Dévaler une pente en fixant du regard un point fixe ou mobile situé en aval, sans le quitter des yeux (,,,les pieds se chargent de sentir les bosses!) ect...


6-Le rythme


En liaison avec tous les éléments précédents et la glisse sous toutes ses formes, il reste à découvrir et à perfectionner le rythme des évolutions de la manière suivante :

  • Freiner avant de tourner
Le virage vers l'aval devient alors une accélération ; la ligne de pente n'est plus escamotée et la courbe est conduite en douceur,
Tourner pour freiner ne peut en aucun cas favoriser la pratique du monoskieur car l'observation montre que cette action s'accompagne toujours de mouvements parasites ( contorsions diverses, lancers de hanches, coup de bâton,,,), de brusqueries et de tensions,

  • Monoskier à deux, main dans la main.
Ceci évite la tendance trop fréquente de vouloir tourner pour freiner plutot que de glisser.

  • Effectuer dans chaque courbe un passage face à la pente,
Il sera plus ou moins long suivant le degré de pente : 2 à 10,20 mètres sur piste, et plus en neige profonde. Bien sur, cette action n'est pas la réalisation d'une trace directe, mais l'allongement du rayon de la courbe.

  • Se concentrer sur la réalisation des courbes.
Elles seront réalisées sans jamais la moindre brusquerie, sans pivotement intempestif.

  • Réaliser une conduite de courbe poursuivie.
S'imposer une conduite de courbe jusqu'à remonter dans la pente avant de se laisser totalement aller et plonger vers l'aval en accélérant.


Dans les limites de cet article, je vous ai proposé que quelques situations susceptibles de permettre aux débutants d'aborder le monoski avec moins d'appréhension. 
"Beaucoup d'autres restent à inventer ou recréer dans le prolongement de notre démarche dont le souci constant rappelons-le, est l'affinement des élément psychomoteurs dans le sens d'une décontraction et d'une aisance toujours plus grandes, Alors la technique devient un véritable jeu d'enfant. ( Thierry Millot )"



< a title="Referencement Google" href="http://www.referencement-google-gratuit.com/" >Referencement Google< /a>' Supprimer les espaces entre < a et entre < /a>

Aucun commentaire: