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jeudi 11 août 2016

PRATIQUEZ LE MONOSKI

APPRENDRE LE MONOSKI


Un petit extrait de ce que vous trouverez prochainement sous cet onglet LA PRATIQUE 

Je vais tacher de synthétiser et de mettre par écrit toutes les expériences relevés auprès des utilisateurs de monoski dit " modernes" afin de vous apporter une base de pratique.

Le monoski sport de glisse de l’élite comme le surf, le « fun » par force 7…. ?


On aurait pu le croire, mais c’est fini ! Finis ces gestes étonnants, ces projections du ventre en avant, ces bras jetés au ciel qui pouvaient séduire certains mais qui repoussaient nombre de bons et même d’excellents skieurs.
Avec les derniers monoskis proposés, tous les bons skieurs peuvent connaître l’ivresse du monoski en profitant à 100% de la technique deux skis déjà acquise !

Je vous l’affirme : en deux heures, si vous êtes un bon skieur, vous skierez « mono » non seulement dans la poudreuse mais aussi sur neige damée et même sur la glace ! Si vous êtes seulement un skieur moyen, il vous faudra un peu plus de temps mais en quelques heures vous pourrez déjà avoir une efficacité accrue en neige profonde ou ramollie par le soleil.


Pourquoi le monoski ?


S’il ne s’agissait que d’une mode et que pour se distinguer, on doive accepter de souffrir sur les faux plats, de se faire refuser l’accès de certains téléskis et télécabines, et de se mettre en difficulté dans certaines neiges poudreuses ou verglacées… le jeux n’en vaudrait pas la chandelle !
Mais aujourd’hui le monoski est beaucoup plus qu’une mode ! Dans la hiérarchie des sports de glisse, il vient avant le ski traditionnel, si l’on prend comme critère d’appréciation la jouissance et même l’ivresse que donnent tous ces sports. Et de cette jouissance naît une communion plus étroite avec l’élément, ici la neige, la pente, la montagne.
Pourquoi cette jouissance accrue ? Parce que les frottements sous le ski sont moindres ( sa surface égale celle de trois skis ) . Parce que les irrégularités de la surface neigeuse sont gommées ? Parce que l’homme aux pieds liés n’est plus le bipède habituel et se sent devenir oiseau ? Peu importe d’ailleurs, le fait est là : avec le monoski le très bon skieur initié peut créer les conditions d’une pratique encore plus exaltante. Pourquoi se priverait-il de ce « plus ».
Même au strict plan de l’efficacité, le monoski se justifie. Certainement pas sur des tracés de compétition, ou les skis traditionnels resteront, à mon avis, imbattables, mais sur les neiges non damées, profondes, lourdes, irrégulières ou même croûtées. Là , le monoski est imbattable. Il est d’abord d’un maniement plus facile. Il apporte aussi une plus grande stabilité. Enfin, il permet une pratique économique aux plans du travail musculaire et de la dépense foncière. Le monoskieur entraîné est un dévoreur de grands espaces et de dénivellation…
En conclusion que vous soyez un amoureux des sports de glisse, un fanatique du tout terrain et de la profonde, un ennemi des pistes trop damées et trop encombrées, un sportif qui aime se « défoncer » dans l’action, ou même plus simplement un technicien qui a toujours plaisir à s’initier à de nouvelles techniques, vous devez obligatoirement ajouter à la panoplie des engins sportifs que vous rangez dans votre garage un monoski moderne.


Avant 1984, la mise de fond aurait été prématurée, le monoski était en pleine évolution et imposait une technique trop différente de celle des skis traditionnels. Aujourd’hui, « le monoski est devenu vingt fois plus facile et permet une pratique très sobre, avec la technique du ski classique ». Je viens de citer les parole de Nano Pourtier, ex coureur en ski alpin, devenu champion du monde de ski acrobatique qui fut l’un des premiers monoskieur de France avec le regretté Pierre Poncet.

A SUIVRE... 

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